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9 septembre 2018 à 20:45

Sud Presse-Le Pays Vert tient son premier point

Après deux revers pas forcément mérités, le Pays Vert a enfin décroché sa première unité en d3 amateurs et peut même avoir quelques regrets après la partie face à Namur.

CS Pays Vert2

Union Namur2

Les buts : 27e Fievez (CSC 0-1), 49e Delbecq(1-1), 53e Ramser (2-1), 67e Rosmolen (2-2)

CS Pays Vert : Mercier, Thulier, Dubois J., Fievez, Vallera, Vandeville (73e Leleux S.), Hospied, Leleux S., Eckhaut, Delbecq (68e Paternostre), Ramser (84e Patout)

Union Namur : Aromatario, Toussaint, Vander Camen, Boukamir, Bojovic, Kitoko, Mwemwe, De Roos (68e Kenmogne), Descontus, Rosmolen, François (82e Gerodez)

Cartons jaunes : Ramser, Mwemwe, Patout

 

Le voilà enfin ce point qui vient récompenser les joueurs du Pays Vert pour leurs efforts réalisés durant les dernières semaines ! «  Malgré de bonnes prestations lors des rencontres précédentes, nous n’avions pas pris un point. Celui-ci, il fait vraiment plaisir, en plus contre une équipe qui vise le titre  », commentait Geoffrey Feviez, héros malheureux sur le premier but des Namurois. Un auto but qui tombait alors que les locaux prenaient petit à petit le contrôle de la partie. Pas découragés, les hommes de Fabrice Milone remontaient sur la pelouse après la pause avec l’envie d’en découdre et cela a payé puisqu’en quatre minutes, Delbecq puis Ramser trompaient Aromatario. Dos au mur, les Namurois poussaient et revenaient au score via à un coup franc dévié de l’intenable Rosmolen. Dans les arrêts de jeu, Kenmogne, seul au point de penalty, avait la balle de match au bout des pieds, mais n’en faisait rien. «  C’était un match sur lequel nous comptions beaucoup, nous avions travaillé à l’entraînement un autre système de jeu. Nous avons aussi dû faire avec les défections défensives de Pieraert et François Dubois, suspendus… Ils ont tous fait leur travail. Donc ce point n’a pas forcément un goût de trop peu, nous allons surtout le prendre comme une victoire  », se réjouissait Vincent Massy, l’entraîneur adjoint du Pays Vert. Des locaux qui, une fois de plus, ont fait preuve de caractère. «  Nous en voulions vraiment, peut-être un peu plus que nos adversaires même si dans le dernier quart d’heure ils rentraient vraiment dedans. Nous sommes un groupe, les remplaçants ont fait du bien, tout le monde s’est battu à du 150 %  », concluait Geoffrey Fievez qui résumait ainsi bien l’atmosphère qui règne dans le vestiaire du Pays Vert.

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